- Quelle fichue journée, dis-je en m’étirant de tout mon long.
Cela faisait plusieurs heures que j’étais assis à mon bureau pour rédiger je ne sais quel discours pour l’arrivée de je ne sais plus quel convive de la noblesse. Une fille je crois, une princesse encore une lady avec ses manières et ses chichis. Je soupirais d’avance. En plus je ne voyais pas pourquoi je me donnais tous ce mal parce que je savais pertinemment que Merlin allez me sortir au dernier moment un discours tout fait qui serait certainement mieux que les dix malheureuse lignes que j’avais écrite en trois heures.
D’ailleurs en parlant de Merlin, je ne l’avais plus vus depuis plusieurs heures cela ne signifiait que deux choses soit il avait fait une bourde que je ne tarderais pas à apprendre et que je devrais régler ou alors il était à la taverne. Dans tous les cas, il n’était pas là, je n’avais donc pas de chaperon pour me servir de conscience. Je décidais donc que j’avais bien mérité une petite pause.
Je me levais et sortit discrètement de ma chambre. Par la fenêtre je peux voir que l’après-midi était bien avancé. Super en plus notre invité n’arriverait pas avant la tombée de la nuit et il faudrait attendre pour manger. Rien qu’à cette pensée, mon estomac se mit à gargouiller. Décidément pour une fois que Merlin aurait pu se rendre utile… j’exagère, peut- être, bon d’accord sûrement. Mais quand j’ai faim je suis de mauvaise humeur.
Ne sachant pas vraiment où aller et comme mon ventre criait famine, je dirigeais mes pas vers la cuisine, juste histoire d’y trouver quelques choses à grignoter.
Quand je traversais le couloir pour descendre à la cuisine. Un serviteur se précipita dans ma direction.
- Sire, notre hôte est presque arrivée. Elle sera là d’une minute à l’autre.
Super ! Je ne pourrais pas grignoter et Merlin n’était pas là. Je fis quand même un effort pour rester polie. J’étais énervé mais ce n’était pas peine de s’en prendre à ce pauvre malheureux. Je le remerciais donc et le renvoyer à sa tâche.
Avisant un plateau sur un des meuble du couloir, je vérifier que mes cheveux n’était pas en pétard, remonter mon col. Un dernier regard, bien cela fera l’affaire. Je me changerais plus tard pour le dîner. Je descendis de ce pas accueillir notre invité.
Comme je m’y attendais la cour été réunis et nous attendions dans le froid que notre invité arrive. Qu’est-ce que je peux détester d’attendre comme ça. Soudain un bruit de gallot me renseignât sur l’arrivé de notre visiteur.
Avant même qu’elle arrêtait son cheval je restais bouche bée devant une tel beauté. Elle avait quelques chose d’envoutant. Finalement ce ne serait peut – être pas une corvée si dure de l’accueillir.